L’objectif de cette interview est de débattre des actions menées au Ministère des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Centrafricains de l’étranger durant les 100 premiers jours du quinquennat du Président Faustin-Archange Touadéra ainsi que des perspectives à venir.
Sur le plan diplomatique, Charles-Armel Doubane a annoncé la redynamisation des représentations nationales à l’étranger. Il est conscient de ce que ceux qui représentent la République Centrafricaine à l’étranger éprouvent quelques difficultés, et que le gouvernement y prête attention.
Il a justifié l’abrogation du décret d’affectation dans les ambassades centrafricaines à l’étranger par un travail hâtif réalisation vers la fin de la transition. Il compte y revenir de manière méticuleuse dans les prochains mois afin de pourvoir les ambassades et les consuls de la République Centrafricaine à l’étranger.
Tout comme les autres membres du gouvernement, Charles-Armel Doubane considère que la communauté internationale doit revenir sur l’embargo qui pèse sur les armes en direction de la République Centrafricaine afin de permettre aux militaires de s’assumer, en assurant la défense de l’intégrité du territoire nationale.
Le Ministre des Affaires étrangères n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude à l’endroit des partenaires de la République Centrafricaine, lesquels n’ont pas manqué un seul instant d’être au chevet du pays pourtant en difficulté.
Leurs appuis, ils les ont réitérés, selon le membre du gouvernement, tout dernièrement au Sommet de l’Union Africaine à Kigali au Rwanda.
Charles-Armel Doubane a inscrit les résultats jusque-là obtenue dans les orientations générale du Président de la République, Faustin-Archange Touadéra, et du Premier ministre Simplice-Mathieu Sanrandji.
Sur le plan diplomatique, Charles-Armel Doubane a annoncé la redynamisation des représentations nationales à l’étranger. Il est conscient de ce que ceux qui représentent la République Centrafricaine à l’étranger éprouvent quelques difficultés, et que le gouvernement y prête attention.
Il a justifié l’abrogation du décret d’affectation dans les ambassades centrafricaines à l’étranger par un travail hâtif réalisation vers la fin de la transition. Il compte y revenir de manière méticuleuse dans les prochains mois afin de pourvoir les ambassades et les consuls de la République Centrafricaine à l’étranger.
Tout comme les autres membres du gouvernement, Charles-Armel Doubane considère que la communauté internationale doit revenir sur l’embargo qui pèse sur les armes en direction de la République Centrafricaine afin de permettre aux militaires de s’assumer, en assurant la défense de l’intégrité du territoire nationale.
Le Ministre des Affaires étrangères n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude à l’endroit des partenaires de la République Centrafricaine, lesquels n’ont pas manqué un seul instant d’être au chevet du pays pourtant en difficulté.
Leurs appuis, ils les ont réitérés, selon le membre du gouvernement, tout dernièrement au Sommet de l’Union Africaine à Kigali au Rwanda.
Charles-Armel Doubane a inscrit les résultats jusque-là obtenue dans les orientations générale du Président de la République, Faustin-Archange Touadéra, et du Premier ministre Simplice-Mathieu Sanrandji.