L’objectif de la décennie d’action en faveur de la sécurité routière 2011-2020 est de renverser significativement les tendances d’augmentation des accidents de la route tant au niveau mondial qu’au niveau de chaque pays, dont la République Centrafricaine.
Le Ministre d’Etat Parfait Anicet Mbay a pensé que si rien n’est fait, d’ici 2030, le résultat sera catastrophique.
Parfait Anicet Mbay a souligné la faiblesse des investissements se rapportant aux infrastructures routières en République Centrafricaine, avant de s’appesantir sur la protection des usagers de la route, tels que les enfants, les piétons, les cyclistes, les motocyclistes, les vendeurs ambulants, etc.
Les mesures préconisées par le membre du gouvernement concernent la limitation des vitesses, la sanction des conducteurs en état d’ébriété, l’absence du port de la ceinture de sécurité pour les véhicules et les casques pour les deux roues, le dispositif pour asseoir les enfants et les soins d’urgences des victimes des accidents de la route.
Il a également donné des indications concernant l’achat des véhicules en bon état et surtout une campagne de sensibilisation des usagers de la route, avec inscription de la sécurité routière au programme d’instruction civique dans des établissements scolaires.
M. Zakaria Maïga de l’OMS a insisté sur certains chiffres : plus d’un millions de décès et entre 20 à 50 millions d’infirmités sont enregistrés par an dans le monde et sont imputables aux accidents de la route.
« Plus de 90% des décès et infirmités dus aux accidents de la route surviennent dans les pays à faible revenu alors ne disposant que de 48% des véhicules immatriculés dans le monde ; enfin, les accidents de la route représentent un frein considérable au plan économique pour les victimes, leurs familles et les pays », a-t-il indiqué.
Rappelons que du fait des dommages occasionnés par les routes, une conférence ministérielle s’était tenue à Moscou en Russie les 19 et 20 novembre 2009. Cette conférence a été à l’origine de la recommandation visant la décennie d’action en faveur de la sécurité routière, avalisée par l’assemblée générale des Nations Unies du 2 mars 2010 grâce à la résolution A 64 L 44/Rev1.
Un plan global de la décennie d’action en faveur de la sécurité routière a été élaboré et s’articule autour de cinq points à savoir: l’amélioration des conditions de la gestion de la sécurité routière ; de la sécurité de l’infrastructure routière ; de la sécurité des véhicules ; du comportement des usagers de la route et enfin l’amélioration des soins d’urgence.
Un appel est lancé en direction du gouvernement, des organismes internationaux, de la société civile et de chaque citoyen pour faire obstacle aux accidents de la route en tant que « graves problèmes de santé publique et de développement », sachant bien qu’ils peuvent être évités.
Le Ministre d’Etat Parfait Anicet Mbay a pensé que si rien n’est fait, d’ici 2030, le résultat sera catastrophique.
Parfait Anicet Mbay a souligné la faiblesse des investissements se rapportant aux infrastructures routières en République Centrafricaine, avant de s’appesantir sur la protection des usagers de la route, tels que les enfants, les piétons, les cyclistes, les motocyclistes, les vendeurs ambulants, etc.
Les mesures préconisées par le membre du gouvernement concernent la limitation des vitesses, la sanction des conducteurs en état d’ébriété, l’absence du port de la ceinture de sécurité pour les véhicules et les casques pour les deux roues, le dispositif pour asseoir les enfants et les soins d’urgences des victimes des accidents de la route.
Il a également donné des indications concernant l’achat des véhicules en bon état et surtout une campagne de sensibilisation des usagers de la route, avec inscription de la sécurité routière au programme d’instruction civique dans des établissements scolaires.
M. Zakaria Maïga de l’OMS a insisté sur certains chiffres : plus d’un millions de décès et entre 20 à 50 millions d’infirmités sont enregistrés par an dans le monde et sont imputables aux accidents de la route.
« Plus de 90% des décès et infirmités dus aux accidents de la route surviennent dans les pays à faible revenu alors ne disposant que de 48% des véhicules immatriculés dans le monde ; enfin, les accidents de la route représentent un frein considérable au plan économique pour les victimes, leurs familles et les pays », a-t-il indiqué.
Rappelons que du fait des dommages occasionnés par les routes, une conférence ministérielle s’était tenue à Moscou en Russie les 19 et 20 novembre 2009. Cette conférence a été à l’origine de la recommandation visant la décennie d’action en faveur de la sécurité routière, avalisée par l’assemblée générale des Nations Unies du 2 mars 2010 grâce à la résolution A 64 L 44/Rev1.
Un plan global de la décennie d’action en faveur de la sécurité routière a été élaboré et s’articule autour de cinq points à savoir: l’amélioration des conditions de la gestion de la sécurité routière ; de la sécurité de l’infrastructure routière ; de la sécurité des véhicules ; du comportement des usagers de la route et enfin l’amélioration des soins d’urgence.
Un appel est lancé en direction du gouvernement, des organismes internationaux, de la société civile et de chaque citoyen pour faire obstacle aux accidents de la route en tant que « graves problèmes de santé publique et de développement », sachant bien qu’ils peuvent être évités.