Dans son intervention le ministre Bizot a déclaré que la chasse commerciale est une activité qui contribue efficacement à la réduction de la pauvreté et à la promotion du concept genre. Car, a-t-il fait remarquer, « l’accès à la profession est facile et demande peu de capitaux, ce qui permet à de nombreuses jeunes femmes d’entrer dans la vie active et d’acquérir une indépendance financière ».
Selon lui, la chasse commerciale a un impact positif direct sur la population rurale parce qu’elle constitue la principale source de recette et d’échanges monétaires, de la ville vers les campagnes et vis versa.
Toutefois, il a fait remarquer que la possession et l’utilisation des armes de chasse tant traditionnelles que modernes « est un sujet particulièrement délicat dans le contexte d’insécurité que connaît le pays actuellement ».
C’est pourquoi, à son avis, les travaux du PGTCV vont contribuer à « alimenter un débat indispensable et une réflexion politique nationale sur la gestion de la faune sauvage, en vue de la protection de la nature et de la préservation de la diversité biologique et d’une gestion dynamique et moderne de la faune commune ».
Le PGTCV existe en Centrafrique depuis deux ans. Il est financé par la Coopération française à travers le Fonds français pour l’environnement mondial et se consacre aux réflexions scientifiques et à l’analyse des procédés relatifs à la gestion moderne de la faune sauvage et de la chasse commerciale.
La deuxième réunion du comité de pilotage réunit les experts de la Coopération française et autres projets de la défense et de la protection de l’environnement ainsi que les Maires des différentes communes du pays et quelques chasseurs de gibiers.
Selon lui, la chasse commerciale a un impact positif direct sur la population rurale parce qu’elle constitue la principale source de recette et d’échanges monétaires, de la ville vers les campagnes et vis versa.
Toutefois, il a fait remarquer que la possession et l’utilisation des armes de chasse tant traditionnelles que modernes « est un sujet particulièrement délicat dans le contexte d’insécurité que connaît le pays actuellement ».
C’est pourquoi, à son avis, les travaux du PGTCV vont contribuer à « alimenter un débat indispensable et une réflexion politique nationale sur la gestion de la faune sauvage, en vue de la protection de la nature et de la préservation de la diversité biologique et d’une gestion dynamique et moderne de la faune commune ».
Le PGTCV existe en Centrafrique depuis deux ans. Il est financé par la Coopération française à travers le Fonds français pour l’environnement mondial et se consacre aux réflexions scientifiques et à l’analyse des procédés relatifs à la gestion moderne de la faune sauvage et de la chasse commerciale.
La deuxième réunion du comité de pilotage réunit les experts de la Coopération française et autres projets de la défense et de la protection de l’environnement ainsi que les Maires des différentes communes du pays et quelques chasseurs de gibiers.