
Photo de famille des membres du CNOP-CAF
Cette consultation nationale a pour but de réfléchir sur trois points fondamentaux, à savoir : le renforcement institutionnel ; le soutien aux programmes et l’appui économique aux petits producteurs.
Le renforcement institutionnel consiste à faire des organisations paysannes des structures juridiquement reconnues et dotées d’un siège et de personnel, de sorte à ce qu’elles soient de vrais acteurs du développement.
Le secrétaire permanent du PROPAC a expliqué que, dans le cadre du PAOPA, des missions dévaluation ont sillonné les pays membres que sont : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Congo Démocratique, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad.
Les leçons tirées de ces missions ont démontré qu’au bout de trois années de mise en œuvre, l’impact du projet ne pouvait pas être mesuré au niveau des producteurs à la base surtout que la première phase du projet était axée sur le renforcement institutionnel des organisations paysannes.
Au regard de ces constats, a souligné Célestin Nga, des négociations se sont poursuivies entre les bailleurs de fonds et les organisations paysannes des pays membres de la sous-région d’Afrique centrale. Ces discussions ont eu pour conséquence le prolongement du projet à travers la deuxième phase.
La phase deux du projet PAOPA a pour but de provoquer un impact direct sur le revenu des paysan à la base.
Cette s’est déroulée en présence de Mme Guérel Baïlé Touane Odette Elisabeth, présidente de la Concertation Nationale des Organisations Paysannes de Centrafrique (CNOP-CAF).
Rappelons que le Programme d’Appui aux Organisations Paysannes d’Afrique est un projet lancé depuis 2009 et financé conjointement par l’Union Européenne (UE) et le Fonds Internationale pour le Développement Agricole (FIAD). Le financement de l’Union Européenne prend fin en décembre 2011 tandis que celui du FIDA s’arrête en 2012.
Le renforcement institutionnel consiste à faire des organisations paysannes des structures juridiquement reconnues et dotées d’un siège et de personnel, de sorte à ce qu’elles soient de vrais acteurs du développement.
Le secrétaire permanent du PROPAC a expliqué que, dans le cadre du PAOPA, des missions dévaluation ont sillonné les pays membres que sont : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Congo Démocratique, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad.
Les leçons tirées de ces missions ont démontré qu’au bout de trois années de mise en œuvre, l’impact du projet ne pouvait pas être mesuré au niveau des producteurs à la base surtout que la première phase du projet était axée sur le renforcement institutionnel des organisations paysannes.
Au regard de ces constats, a souligné Célestin Nga, des négociations se sont poursuivies entre les bailleurs de fonds et les organisations paysannes des pays membres de la sous-région d’Afrique centrale. Ces discussions ont eu pour conséquence le prolongement du projet à travers la deuxième phase.
La phase deux du projet PAOPA a pour but de provoquer un impact direct sur le revenu des paysan à la base.
Cette s’est déroulée en présence de Mme Guérel Baïlé Touane Odette Elisabeth, présidente de la Concertation Nationale des Organisations Paysannes de Centrafrique (CNOP-CAF).
Rappelons que le Programme d’Appui aux Organisations Paysannes d’Afrique est un projet lancé depuis 2009 et financé conjointement par l’Union Européenne (UE) et le Fonds Internationale pour le Développement Agricole (FIAD). Le financement de l’Union Européenne prend fin en décembre 2011 tandis que celui du FIDA s’arrête en 2012.