Des banderoles déployées dans la ville ainsi qu’une conférence de presse animée par le président du Comité national de lutte contre la corruption (CNLC), M. Joseph Bida Koyagbélé, ont marqué cette célébration.
« La lutte contre la corruption est une lutte morale et qui concerne tout le monde », a déclaré ce dernier, ajoutant que la célébration de cette journée consiste à sensibiliser tous ceux qui ont un rôle à jouer dans la lutte contre la corruption.
Il a entre autres cité l’Etat et tous ses démembrements qui doivent sensibiliser, éduquer et former, de même qu’ils doivent tout mettre en œuvre pour pouvoir donner les moyens aux agents publics.
M. Koyagbélé a également indiqué que la société civile qui, en général, constitue un contre pouvoir dans beaucoup de pays peut « demander des comptes aux pouvoirs publics, en ce qui concerne les mesures à prendre pour lutter contre la corruption ».
Créé en mars 2008, le CNLC est chargé d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption en Centrafrique, d’assurer la coordination et d’aider l’Etat dans l’élaboration et la mise en œuvre du suivi des actions en ce qui concerne la lutte contre la corruption.
Signalons que le CNLC, qui est composé de quatorze (14) membres représentant différentes entités, est financé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Il faut rappeler que la République Centrafricaine a ratifié en 2006 la convention contre la corruption mise en place en 2005 par les Nations Unies.
« La lutte contre la corruption est une lutte morale et qui concerne tout le monde », a déclaré ce dernier, ajoutant que la célébration de cette journée consiste à sensibiliser tous ceux qui ont un rôle à jouer dans la lutte contre la corruption.
Il a entre autres cité l’Etat et tous ses démembrements qui doivent sensibiliser, éduquer et former, de même qu’ils doivent tout mettre en œuvre pour pouvoir donner les moyens aux agents publics.
M. Koyagbélé a également indiqué que la société civile qui, en général, constitue un contre pouvoir dans beaucoup de pays peut « demander des comptes aux pouvoirs publics, en ce qui concerne les mesures à prendre pour lutter contre la corruption ».
Créé en mars 2008, le CNLC est chargé d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption en Centrafrique, d’assurer la coordination et d’aider l’Etat dans l’élaboration et la mise en œuvre du suivi des actions en ce qui concerne la lutte contre la corruption.
Signalons que le CNLC, qui est composé de quatorze (14) membres représentant différentes entités, est financé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Il faut rappeler que la République Centrafricaine a ratifié en 2006 la convention contre la corruption mise en place en 2005 par les Nations Unies.