La saisine de la Cour Pénale Internationale relève de ce que « les juridictions centrafricaines, durablement affectées par les violences et les crimes qu’a connues la République Centrafricaine depuis plusieurs années ne sont pas aujourd’hui en mesure de mener à bien seules les enquêtes et les poursuites indispensables sur ces crimes et qu’il est impérieux que « les auteurs des crimes à répétition qui continuent de circuler librement soient arrêtés et jugés ».
Les multiples cas de crimes contre l’humanité et autres odieuses violations généralisées des droits de l’homme perpétrés dans notre pays depuis 2012 ont ému la communauté internationale. C’est pourquoi, Mme la Procureure de la Cour Pénale Internationale qui, après plusieurs déclarations courant 2013, a décidé le 7 février 2014, d’ouvrir une enquête préliminaire sur ces violations des droits de l’Homme dans notre pays afin d’envisager de se saisir du cas centrafricain, a indiqué le communiqué.
Afin de justice soit rendue, le Communiqué a recommandé de « tout mettre en œuvre pour coopérer avec la Cour dans tout ce qu’elle entreprendra à la suite de ce renvoi. Ainsi, la justice centrafricaine va apporter son appui total à la Cour Pénale Internationale pour que les commanditaires des crimes soient poursuivies, mis hors d’état de nuire afin d’enrayer le cycle infernal de violence et en finir avec l’impunité des criminels ».
Les populations centrafricaines sont également appelées à adhérer « avec la CPI lors des différentes phases d’enquêtes et de jugement ». Le gouvernement ferait autant « car sans justice, il ne peut y avoir de paix durable en dans le pays », a conclu le communiqué.
Les multiples cas de crimes contre l’humanité et autres odieuses violations généralisées des droits de l’homme perpétrés dans notre pays depuis 2012 ont ému la communauté internationale. C’est pourquoi, Mme la Procureure de la Cour Pénale Internationale qui, après plusieurs déclarations courant 2013, a décidé le 7 février 2014, d’ouvrir une enquête préliminaire sur ces violations des droits de l’Homme dans notre pays afin d’envisager de se saisir du cas centrafricain, a indiqué le communiqué.
Afin de justice soit rendue, le Communiqué a recommandé de « tout mettre en œuvre pour coopérer avec la Cour dans tout ce qu’elle entreprendra à la suite de ce renvoi. Ainsi, la justice centrafricaine va apporter son appui total à la Cour Pénale Internationale pour que les commanditaires des crimes soient poursuivies, mis hors d’état de nuire afin d’enrayer le cycle infernal de violence et en finir avec l’impunité des criminels ».
Les populations centrafricaines sont également appelées à adhérer « avec la CPI lors des différentes phases d’enquêtes et de jugement ». Le gouvernement ferait autant « car sans justice, il ne peut y avoir de paix durable en dans le pays », a conclu le communiqué.