Le Chef de l'Etat centrafricain a saisi l’occasion pour inviter les centrafricains à revisiter les idéaux de l'illustre disparu.
"C’est un moment de recueillement et de réflexion pour les centrafricains, les centrafricains doivent saisir l’occasion pour revisiter les idéaux du Président fondateur Barthélémy Boganda à travers les cinq verbes du Mouvement pour l’Evolution Sociale en Afrique Noire (MESAN) et les devises qu’il a léguées aux peuples centrafricains à savoir : Unité, dignité et travail" .
« Notre pays est en proie à des idées de partition, alors que le père fondateur nous invite à l’union, à l’unité, il nous invite à la dignité », a déploré Faustin Archange Touadéra, qui a invité ses compatriotes à "être dignes et permettre aux autres d’être dignes ».
Il a par ailleurs regretté la persistance de la violence, qui a occasionné le déplacement de beaucoup de Centrafricains vivant dans la précarité.
" Ceux qui se reconnaissent Centrafricains devraient revisiter ces questions. Et le travail n’est pas la violence, ne veut pas dire prendre les biens d’autrui. C’est tout ça qui m’inspire », a conclu le Président de la République.
Il faut noter qu'après le monument Boganda, le Président Touadéra s'est rendu à Bobangui (90 km de Bangui), dans la préfecture de la Lobaye, où une autre cérémonie officielle s'est déroulée à proximité du mausolée du premier président de la République Centrafricaine.
"C’est un moment de recueillement et de réflexion pour les centrafricains, les centrafricains doivent saisir l’occasion pour revisiter les idéaux du Président fondateur Barthélémy Boganda à travers les cinq verbes du Mouvement pour l’Evolution Sociale en Afrique Noire (MESAN) et les devises qu’il a léguées aux peuples centrafricains à savoir : Unité, dignité et travail" .
« Notre pays est en proie à des idées de partition, alors que le père fondateur nous invite à l’union, à l’unité, il nous invite à la dignité », a déploré Faustin Archange Touadéra, qui a invité ses compatriotes à "être dignes et permettre aux autres d’être dignes ».
Il a par ailleurs regretté la persistance de la violence, qui a occasionné le déplacement de beaucoup de Centrafricains vivant dans la précarité.
" Ceux qui se reconnaissent Centrafricains devraient revisiter ces questions. Et le travail n’est pas la violence, ne veut pas dire prendre les biens d’autrui. C’est tout ça qui m’inspire », a conclu le Président de la République.
Il faut noter qu'après le monument Boganda, le Président Touadéra s'est rendu à Bobangui (90 km de Bangui), dans la préfecture de la Lobaye, où une autre cérémonie officielle s'est déroulée à proximité du mausolée du premier président de la République Centrafricaine.
