POLITIQUE
Cette campagne est programmée du 25 novembre au 10 décembre 2020, au niveau international sur le thème « Financer, prévenir, répondre et collecter » et au niveau national sur le thème : « Impliquons les hommes et les garçons dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles ».
La Ministre Aline-Gisèle Pana a expliqué que cette campagne du secrétaire général des Nations-Unies dénommée des 16 jours d’activisme a pour objectif de sensibiliser, d’informer le public sur les violences subies par les femmes et les filles, et à lutter contre toutes les formes de violence y compris l’esclavage sexuel et toutes formes d’exploitations touchant les violations des droits humains.
Elle a souligné que ces différentes formes de violences demeurent persistantes parce que les auteurs de ces violences, la famille, la société exercent une intimidation sur la femme, au point qu’elle n’ose pas en parler, ni dénoncer et s’empêche de recourir à l’assistance d’une tierce personne.
« Face à ce défi, le gouvernement a inscrit dans ses priorités, la protection de la femme qui s’est matérialisée par l’adoption des textes de programme, de politique et du plan d’action relative à la prise en charge holistique, et la lutte contre l’impunité des auteurs de violence », a-t-elle indiquée.
Le membre du gouvernement a invité la société civile, les partenaires technique et financier de la RCA et surtout les hommes à s’impliquer dans cette lutte notamment à la veille des échéances électorales où les femmes doivent se battre pour se faire une place pendant dans les instances politiques.
Il convient de rappeler qu’à cette l’occasion un certain nombre de documents, des textes de loi en la matière ont été distribués aux partenaires.
La Ministre Aline-Gisèle Pana a expliqué que cette campagne du secrétaire général des Nations-Unies dénommée des 16 jours d’activisme a pour objectif de sensibiliser, d’informer le public sur les violences subies par les femmes et les filles, et à lutter contre toutes les formes de violence y compris l’esclavage sexuel et toutes formes d’exploitations touchant les violations des droits humains.
Elle a souligné que ces différentes formes de violences demeurent persistantes parce que les auteurs de ces violences, la famille, la société exercent une intimidation sur la femme, au point qu’elle n’ose pas en parler, ni dénoncer et s’empêche de recourir à l’assistance d’une tierce personne.
« Face à ce défi, le gouvernement a inscrit dans ses priorités, la protection de la femme qui s’est matérialisée par l’adoption des textes de programme, de politique et du plan d’action relative à la prise en charge holistique, et la lutte contre l’impunité des auteurs de violence », a-t-elle indiquée.
Le membre du gouvernement a invité la société civile, les partenaires technique et financier de la RCA et surtout les hommes à s’impliquer dans cette lutte notamment à la veille des échéances électorales où les femmes doivent se battre pour se faire une place pendant dans les instances politiques.
Il convient de rappeler qu’à cette l’occasion un certain nombre de documents, des textes de loi en la matière ont été distribués aux partenaires.
