POLITIQUE
La signature de la convention de financement par Moloua et Carret
Le but de ce financement de 30 millions de dollars US, soit un peu plus de 17 milliards de francs CFA, est de lancer les projets liés à la réintégration des ex-combattants et qui peuvent être bénéfiques surtout pour les communautés d’accueil.
Le Ministre Félix Moloua a déclaré que le moment est venu de se passer des armes pour se lancer effectivement sur le chemin du développement, par la création d’emplois qui sont susceptibles de détourner les jeunes des activités subversives et, partant, les projets pourront impacter positivement sur le cours de la sécurité.
C'est pourquoi les fonds mobilisables à la suite des promesses de Bruxelles des 16 et 17 novembre 2017 méritent d’être bien utilisés dans l’intérêt des populations bénéficiaires, a-t-il ajouté.
Le Représentant de la Banque mondiale, Jean-Christophe Carret, a, quant à lui, précisé le contexte de ce financement : "la Banque mondiale finance certes les activités du DDRR, mais en s’appesantissant sur les programmes de la ‘Réinsertion".
Il a ajouté que la rallonge de l’enveloppe, qui est passée du montant initial de 15 millions de dollars US à 30 millions de dollars US, s’explique par la récente visite à Bangui du Vice-président Afrique de la Banque mondiale, Makhtar Diop, qui a été sensibilisé sur la question.
Selon lui, de tels financements favorisent des projets liés à l’eau potable, aux structures de santé, de l’éducation, et bien d’autres services sociaux de base qui, inévitablement, profitent aussi aux communautés d’accueil.
Le Ministre Moloua et M. Carret ont, tous les deux, déploré la recrudescence de l’insécurité dans les préfectures de l’Est, du Centre et du Nord alors que des leaders politico-militaires viennent de prendre part, à Rome, en Italie et à Bruxelles, en Belgique à une rencontre sur la paix, avec en toile de fond un cessez-le-feu immédiat.
De manière globale, il faut relever que les promesses de la Banque mondiale visant le financement des programmes en faveur de la République Centrafricaine a déjà atteint les 500 millions de dollars US.
Le Ministre Félix Moloua a déclaré que le moment est venu de se passer des armes pour se lancer effectivement sur le chemin du développement, par la création d’emplois qui sont susceptibles de détourner les jeunes des activités subversives et, partant, les projets pourront impacter positivement sur le cours de la sécurité.
C'est pourquoi les fonds mobilisables à la suite des promesses de Bruxelles des 16 et 17 novembre 2017 méritent d’être bien utilisés dans l’intérêt des populations bénéficiaires, a-t-il ajouté.
Le Représentant de la Banque mondiale, Jean-Christophe Carret, a, quant à lui, précisé le contexte de ce financement : "la Banque mondiale finance certes les activités du DDRR, mais en s’appesantissant sur les programmes de la ‘Réinsertion".
Il a ajouté que la rallonge de l’enveloppe, qui est passée du montant initial de 15 millions de dollars US à 30 millions de dollars US, s’explique par la récente visite à Bangui du Vice-président Afrique de la Banque mondiale, Makhtar Diop, qui a été sensibilisé sur la question.
Selon lui, de tels financements favorisent des projets liés à l’eau potable, aux structures de santé, de l’éducation, et bien d’autres services sociaux de base qui, inévitablement, profitent aussi aux communautés d’accueil.
Le Ministre Moloua et M. Carret ont, tous les deux, déploré la recrudescence de l’insécurité dans les préfectures de l’Est, du Centre et du Nord alors que des leaders politico-militaires viennent de prendre part, à Rome, en Italie et à Bruxelles, en Belgique à une rencontre sur la paix, avec en toile de fond un cessez-le-feu immédiat.
De manière globale, il faut relever que les promesses de la Banque mondiale visant le financement des programmes en faveur de la République Centrafricaine a déjà atteint les 500 millions de dollars US.
