POLITIQUE
Sébastien Wénézoui, coordonnateur du Collectif des Centrafricains pour la Réconciliation
L’objectif de cette déclaration est de rappeler à la MINUSCA le contenu de son mandat qui est la réconciliation par le dialogue, la lutte contre l’impunité et la lutte contre les trafics d’armes et les ressources minières.
Sébastien Wénézoui, constatant la faiblesse de l’intervention de l’ONU en République Centrafricaine, qui se traduit par des affrontements meurtriers et interminables qui fait des centaines de morts et des milliers de déplacés internes, s’est appesanti sur les cas du Mali et de la RD Congo qui sont des pays qui une mainmise sur leur propre armée.
C’est pourquoi, il a demandé à la MINUSCA de devenir « une force combattante », de façon à mettre un terme « aux massacres, tueries, pillages, incendies des villages, viols, mutilations, tortures qui sont enregistrés tous les jours sur le territoire centrafricain ».
Il a aussi fait allusion aux incursions des bandes armés dans les camps des humanitaires, créant ainsi des entorses dans la façon d’intervention de ces humanitaires.
Il s’attend à ce que les forces françaises reprennent pied en Centrafrique dans le but de rétablir la paix et la sécurité, comme l’avait fait les militaires français de l’opération Sangaris.
Sébastien Wénézoui, constatant la faiblesse de l’intervention de l’ONU en République Centrafricaine, qui se traduit par des affrontements meurtriers et interminables qui fait des centaines de morts et des milliers de déplacés internes, s’est appesanti sur les cas du Mali et de la RD Congo qui sont des pays qui une mainmise sur leur propre armée.
C’est pourquoi, il a demandé à la MINUSCA de devenir « une force combattante », de façon à mettre un terme « aux massacres, tueries, pillages, incendies des villages, viols, mutilations, tortures qui sont enregistrés tous les jours sur le territoire centrafricain ».
Il a aussi fait allusion aux incursions des bandes armés dans les camps des humanitaires, créant ainsi des entorses dans la façon d’intervention de ces humanitaires.
Il s’attend à ce que les forces françaises reprennent pied en Centrafrique dans le but de rétablir la paix et la sécurité, comme l’avait fait les militaires français de l’opération Sangaris.
