Une vue de la tribune officielle
Le but de cette réunion est de sensibiliser la population centrafricaine à l’aide de spots et de messages sur la distribution, l’utilisation et l’entretien des moustiquaires imprégnées (MILD) qui seront distribuées en novembre 2017.
La Directrice régionale numéro 7, Dr. Sylvie Abakan de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a invité les praticiens de santé à accroître les efforts visant à prévenir le paludisme en vue de sauver des vies.
Selon elle, le développement durable ne peut pas être atteint sans le contrôle du paludisme dans les pays concernés.
Le président de la Croix Rouge Centrafricaine, la Pasteur Antoine Mbao Bogo, s’est réjoui de cette initiative du gouvernement et du Comité de lutte contre le paludisme d’impliquer les professionnels des médias, notamment les journalistes, les animateurs ou responsables des médias en vue d’informer et sensibiliser les populations, avant, pendant et après la campagne avec des messages clés dans le but d’attirer l’ attention des responsables politiques sur ce fléau.
Il convient de rappeler qu'en 2013 et 2014, la campagne de sensibilisation n’a pas eu lieu à cause de la crise qu’a connue la République Centrafricaine.
D’après les données d'une enquête de 2014, le paludisme représentait 59 % des causes de mortalité contre 40% en 2016.
La Directrice régionale numéro 7, Dr. Sylvie Abakan de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a invité les praticiens de santé à accroître les efforts visant à prévenir le paludisme en vue de sauver des vies.
Selon elle, le développement durable ne peut pas être atteint sans le contrôle du paludisme dans les pays concernés.
Le président de la Croix Rouge Centrafricaine, la Pasteur Antoine Mbao Bogo, s’est réjoui de cette initiative du gouvernement et du Comité de lutte contre le paludisme d’impliquer les professionnels des médias, notamment les journalistes, les animateurs ou responsables des médias en vue d’informer et sensibiliser les populations, avant, pendant et après la campagne avec des messages clés dans le but d’attirer l’ attention des responsables politiques sur ce fléau.
Il convient de rappeler qu'en 2013 et 2014, la campagne de sensibilisation n’a pas eu lieu à cause de la crise qu’a connue la République Centrafricaine.
D’après les données d'une enquête de 2014, le paludisme représentait 59 % des causes de mortalité contre 40% en 2016.
