Le But de cette session de formation-information est de renforcer les capacités des cadres de la municipalité de Bangui et ceux du département des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Artisanat et du Secteur Informel en matière d’agriculture et qui à leur tour iront travailler auprès des jeunes et des ex-combattants.
Le Représentant adjoint Alain-Constant a expliqué que le but de cet échange d’expériences entre les cadres de la FAO et ceux des PME et la mairie de Bangui est de les outiller afin qu’ils puissent faire la promotion des petits métiers auprès des jeunes qui sont l’avenir d’un pays.
Il a souligné que l’approche caisse de résilience repose sur trois piliers, notamment les piliers technique, social et économique contenus dans le plan de relèvement et de consolidation de la paix en République Centrafricaine (RCPCA).
Il a rappelé qu’il faut outiller les jeunes dans le domaine de la cohésion sociale, des microcrédits, en un mot, de faciliter leur accès à l’auto-emploi.
Selon lui, l’agriculture semble être le secteur porteur pour ces jeunes en quête d’emploi en ce sens qu’il y a l’agriculture, l’élevage, la pêche et la foresterie.
Le Coordonnateur du projet 3603, sylvestre Kassaï-Kaïne, a quant à lui noté qu’il s’agit d’un programme de relance des activités agricoles en faveur de 3 000 ex-combattants identifiés pour être réinstallés dans les activités génératrices de revenus.
Il convient de rappeler que pour la mise en place d’un tel projet, les cadres de la municipalité de Bangui et ceux du département des Petites et Moyennes Entreprises doivent suivre après cette journée d’échange et d’information, une formation de quelques semaines avant d’aller sur le terrain.
Le Représentant adjoint Alain-Constant a expliqué que le but de cet échange d’expériences entre les cadres de la FAO et ceux des PME et la mairie de Bangui est de les outiller afin qu’ils puissent faire la promotion des petits métiers auprès des jeunes qui sont l’avenir d’un pays.
Il a souligné que l’approche caisse de résilience repose sur trois piliers, notamment les piliers technique, social et économique contenus dans le plan de relèvement et de consolidation de la paix en République Centrafricaine (RCPCA).
Il a rappelé qu’il faut outiller les jeunes dans le domaine de la cohésion sociale, des microcrédits, en un mot, de faciliter leur accès à l’auto-emploi.
Selon lui, l’agriculture semble être le secteur porteur pour ces jeunes en quête d’emploi en ce sens qu’il y a l’agriculture, l’élevage, la pêche et la foresterie.
Le Coordonnateur du projet 3603, sylvestre Kassaï-Kaïne, a quant à lui noté qu’il s’agit d’un programme de relance des activités agricoles en faveur de 3 000 ex-combattants identifiés pour être réinstallés dans les activités génératrices de revenus.
Il convient de rappeler que pour la mise en place d’un tel projet, les cadres de la municipalité de Bangui et ceux du département des Petites et Moyennes Entreprises doivent suivre après cette journée d’échange et d’information, une formation de quelques semaines avant d’aller sur le terrain.