Au nom du Président de la République, le Premier Ministre, Simplice Mathieu Sarandji, a élevé le défunt serviteur de l'Etat à titre posthume au grade de commandeur dans l’ordre du mérite centrafricain pour les nombreux services rendus à la nation.
Dans l’oraison funèbre, Serge Singa-Béngba, un membre du Comité National de Lutte contre la Corruption (CNLC), a retracé le parcours scolaire et universitaire depuis le baccalauréat A4 à Bangui jusqu'à l'obtention du diplôme d’inspecteur du trésor à l’Ecole Nationale des services de trésorerie à Paris, en France.
S’agissant de ses expériences professionnelles, il a indiqué que de 2001 à 2016, Jean-Baptiste Koyassambia a aussi successivement occupé des postes de responsabilité comme Ministre du Commerce, Inspecteur général des finances, Chargé de mission au Ministère des Finances et du Budget, Coordonnateur de la Réforme des Finances Publiques, Expert national du Comité national de lutte contre la corruption (CNLC) et membre du Conseil national de Transition (parlement provisoire, 2013 - 2015).
Des témoignages rendus par son fils Stève et par d'autres personnalité, on retiendra du disparu que c’était un leader, un manager déterminé dans ses engagements et prêt à se sacrifier pour faire avancer son pays.
Les autres qualités à mettre à son actif, c’est que c’était un homme intègre, humoriste, proclamait partout sa foi en Dieu, qui n’était pas incompatible avec ses responsabilités politiques ni d’administrateur.
D’après les témoignages, le regretté était très apprécié dans son cadre familial, professionnel et religieux pour sa sociabilité et pour sa disponibilité à voler au secours des plus démunis.
Il laisse derrière lui, une veuve, 16 enfants et de nombreux petits-enfants.
Dans l’oraison funèbre, Serge Singa-Béngba, un membre du Comité National de Lutte contre la Corruption (CNLC), a retracé le parcours scolaire et universitaire depuis le baccalauréat A4 à Bangui jusqu'à l'obtention du diplôme d’inspecteur du trésor à l’Ecole Nationale des services de trésorerie à Paris, en France.
S’agissant de ses expériences professionnelles, il a indiqué que de 2001 à 2016, Jean-Baptiste Koyassambia a aussi successivement occupé des postes de responsabilité comme Ministre du Commerce, Inspecteur général des finances, Chargé de mission au Ministère des Finances et du Budget, Coordonnateur de la Réforme des Finances Publiques, Expert national du Comité national de lutte contre la corruption (CNLC) et membre du Conseil national de Transition (parlement provisoire, 2013 - 2015).
Des témoignages rendus par son fils Stève et par d'autres personnalité, on retiendra du disparu que c’était un leader, un manager déterminé dans ses engagements et prêt à se sacrifier pour faire avancer son pays.
Les autres qualités à mettre à son actif, c’est que c’était un homme intègre, humoriste, proclamait partout sa foi en Dieu, qui n’était pas incompatible avec ses responsabilités politiques ni d’administrateur.
D’après les témoignages, le regretté était très apprécié dans son cadre familial, professionnel et religieux pour sa sociabilité et pour sa disponibilité à voler au secours des plus démunis.
Il laisse derrière lui, une veuve, 16 enfants et de nombreux petits-enfants.