POLITIQUE
L’objet de ce point de presse est de saluer les résultats obtenus à Brazzaville et vanté le charisme du médiateur international sur la crise centrafricaine, le Chef de l’Etat, Dénis Sassou N’guesso qui a su rapprocher les positions des antagonistes afin de redonner espoir et avenir au peuple centrafricain.
Fustigeant la classe politique signataire des Accords de Libreville du 11 janvier 2013 qui privilégié la politique de la chaise vide, le Professeur Gaston Mandata Nguérékata a fait savoir que « de nos jours, il y a un début de renouvellement de classe politique centrafricain et un début de conscientisation politique dans ce pays. Les gens ne croient plus aux hommes politiques qui ne pensent qu’à eux-mêmes ».
« A Brazzaville, j’ai vue des centrafricains de tout bord, certains membres du gouvernement de transition, du Conseil National de Transition (CNT), de la société civile, des religieux, des jeunes qui étaient là bas pour deux choses : premièrement ‘’dire non à la partition du pays’’ et deuxièmement ‘’ne pas discuter les politiques de souveraineté à Brazzaville’’ », a dit Gaston Mandata Nguérékata
Le Professeur Gaston Mandata Nguérékata a interpellé le gouvernement de transition d’assumer sa responsabilité dès maintenant de rencontrer les différentes parties signataires de cet accord au respect de leurs engagements.
Inspirant de l’idéologie du Président Fondateur la République Centrafricaine, sur le concept de la Fédération, le professeur Gaston Mandata Nguérékata a lancé un pressant appel à tous les Chefs d’Etat de la Communauté Economique Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) à réfléchir au futur de leur nation dans un cadre fédéral qui associerait nos pays dans un ensemble capable de s’enserrer dans le concert des nations et de peser à l’échelle continentale et mondiale.
« Terminons le travail que Boganda avait commencé et créons, d’abord avec ceux de nos frères de la CEMAC qui nous sont proches historiquement, culturellement et politiquement, une fédération d’Etats-Unis bienveillante et dynamique », a conclu le Professeur Gaston Mandata Nguérékata.
Fustigeant la classe politique signataire des Accords de Libreville du 11 janvier 2013 qui privilégié la politique de la chaise vide, le Professeur Gaston Mandata Nguérékata a fait savoir que « de nos jours, il y a un début de renouvellement de classe politique centrafricain et un début de conscientisation politique dans ce pays. Les gens ne croient plus aux hommes politiques qui ne pensent qu’à eux-mêmes ».
« A Brazzaville, j’ai vue des centrafricains de tout bord, certains membres du gouvernement de transition, du Conseil National de Transition (CNT), de la société civile, des religieux, des jeunes qui étaient là bas pour deux choses : premièrement ‘’dire non à la partition du pays’’ et deuxièmement ‘’ne pas discuter les politiques de souveraineté à Brazzaville’’ », a dit Gaston Mandata Nguérékata
Le Professeur Gaston Mandata Nguérékata a interpellé le gouvernement de transition d’assumer sa responsabilité dès maintenant de rencontrer les différentes parties signataires de cet accord au respect de leurs engagements.
Inspirant de l’idéologie du Président Fondateur la République Centrafricaine, sur le concept de la Fédération, le professeur Gaston Mandata Nguérékata a lancé un pressant appel à tous les Chefs d’Etat de la Communauté Economique Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) à réfléchir au futur de leur nation dans un cadre fédéral qui associerait nos pays dans un ensemble capable de s’enserrer dans le concert des nations et de peser à l’échelle continentale et mondiale.
« Terminons le travail que Boganda avait commencé et créons, d’abord avec ceux de nos frères de la CEMAC qui nous sont proches historiquement, culturellement et politiquement, une fédération d’Etats-Unis bienveillante et dynamique », a conclu le Professeur Gaston Mandata Nguérékata.
