POLITIQUE
Le Président de L'Assemblée nationale, Abdou Karim Meckassoua
Le Président de l'Assemblée a souligné que toute initiative visant à résoudre la crise en Centrafrique doit respecter l’ordre républicain.
Abdou Karim Méckassoua réagissait ainsi à l’accord signé par les groupes armés le 19 juin dernier à Rome, sous l'égide de la communauté Sant Egidio.
Il a indiqué que les députés centrafricains ont transmis à la communauté Sant ’Egidio l’initiative parlementaire pour la paix en Centrafrique et noté que les deux entités ont la même vision, celle de respecter l’ordre constitutionnel et d'obtenir une cessation immédiate des violences sur la population civile.
« Tant que les Centrafricains n’auront pas la volonté de se réunir autour d’une table pour discuter cette question de paix, ce serait difficile de trouver un accord satisfaisant pour tous », a-t-il ajouté.
Cet accord de Sant ’Egidio n’est pas une prime à l’impunité car la justice « doit être rendue et que les bourreaux du peuple centrafricain répondent de leur crime ».
Il est à signaler que la reprise des violences, mardi 20 juin à Bria, est intervenue au lendemain de la signature de l’accord de Sant ’Egidio.
Abdou Karim Méckassoua réagissait ainsi à l’accord signé par les groupes armés le 19 juin dernier à Rome, sous l'égide de la communauté Sant Egidio.
Il a indiqué que les députés centrafricains ont transmis à la communauté Sant ’Egidio l’initiative parlementaire pour la paix en Centrafrique et noté que les deux entités ont la même vision, celle de respecter l’ordre constitutionnel et d'obtenir une cessation immédiate des violences sur la population civile.
« Tant que les Centrafricains n’auront pas la volonté de se réunir autour d’une table pour discuter cette question de paix, ce serait difficile de trouver un accord satisfaisant pour tous », a-t-il ajouté.
Cet accord de Sant ’Egidio n’est pas une prime à l’impunité car la justice « doit être rendue et que les bourreaux du peuple centrafricain répondent de leur crime ».
Il est à signaler que la reprise des violences, mardi 20 juin à Bria, est intervenue au lendemain de la signature de l’accord de Sant ’Egidio.
