POLITIQUE
Ce communiqué de presse a pour objectif de rappeler les signataires de l’accord de cessation des hostilités de Brazzaville à l’ordre et condamner par la même occasion l’usage désordonné des armes de guerre par les éléments des groupes armées, plus spécifiquement à Bangui et à Batangafo, localité située dans le nord de la République Centrafricaine, à la frontière avec la Tchad.
C’est avec regret que le PUR constate que « l’accord de cessation des hostilités en République Centrafricaine signé à Brazzaville le 23 juillet 2014, en présence de la médiation internationale placée sous le haut patronage du Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, peine à se mettre en application par ceux-là même qui y ont apposé leur signature », a fait ressortir le communiqué de presse.
Pour étayer son argumentaire, le PUR a fait allusion « à la déclaration du Chef d’Etat major de la Séléka à Bambari le 25 juillet 2014 qui ne se reconnaît pas dans l’accord de Brazzaville ; aux tueries de Batangafo et aux déflagrations d’armes légères et lourdes entendues dans les 3ème, 4ème et 5ème Arrondissements de la ville de Bangui, très précisément dans la nuit du jeudi 31 juillet au vendredi 1er août 2014 » qui sont les signes du non-respect de l’application de façon intégrale l’accord de cessation des hostilités.
De ce qui précède, le communiqué du Parti de l’Unité et de la Réconciliation a recommandé l’application stricte de l’accord de cessation des hostilités de Brazzaville afin de créer les conditions idéales du retour de paix en République Centrafricaine et l’arrêt immédiat des hostilités contre les populations civiles et militaires.
Par ailleurs, le communiqué de presse a été favorable à la remise sur pied « des Forces Armées Centrafricaines (FACA) et la levée des mesures contre leur armement et la formation d’un gouvernement véritablement technocratique, représentatif et élargi aux 16 préfectures de la République Centrafricaine choisis sur des critères de compétence, d’intégrité et de loyauté ».
Enfin, le PUR a cru « qu’après le forum de Brazzaville, le problème sécuritaire devra être définitivement être résolu sur le territoire national pour que les libertés individuelles et collectives soient effectivement garanties ».
Il est à noter que le « PUR » est un nouveau parti politique qui vient de voir le jour en République Centrafricaine. Son Président fondateur, M. Kparékouti Eddy Symphorien, universitaire, âgés pour l’instant de 45 ans, a fait ses preuves professionnelles au Soudan, en Tanzanie, en République Démocratique du Congo et en Centrafrique dans des domaines variés.
Il est également polyglotte puisque sachant parler couramment le Sango, sa langue maternelle, le Français, l’Anglais, l’Arabe et le Kiswahili.
C’est avec regret que le PUR constate que « l’accord de cessation des hostilités en République Centrafricaine signé à Brazzaville le 23 juillet 2014, en présence de la médiation internationale placée sous le haut patronage du Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, peine à se mettre en application par ceux-là même qui y ont apposé leur signature », a fait ressortir le communiqué de presse.
Pour étayer son argumentaire, le PUR a fait allusion « à la déclaration du Chef d’Etat major de la Séléka à Bambari le 25 juillet 2014 qui ne se reconnaît pas dans l’accord de Brazzaville ; aux tueries de Batangafo et aux déflagrations d’armes légères et lourdes entendues dans les 3ème, 4ème et 5ème Arrondissements de la ville de Bangui, très précisément dans la nuit du jeudi 31 juillet au vendredi 1er août 2014 » qui sont les signes du non-respect de l’application de façon intégrale l’accord de cessation des hostilités.
De ce qui précède, le communiqué du Parti de l’Unité et de la Réconciliation a recommandé l’application stricte de l’accord de cessation des hostilités de Brazzaville afin de créer les conditions idéales du retour de paix en République Centrafricaine et l’arrêt immédiat des hostilités contre les populations civiles et militaires.
Par ailleurs, le communiqué de presse a été favorable à la remise sur pied « des Forces Armées Centrafricaines (FACA) et la levée des mesures contre leur armement et la formation d’un gouvernement véritablement technocratique, représentatif et élargi aux 16 préfectures de la République Centrafricaine choisis sur des critères de compétence, d’intégrité et de loyauté ».
Enfin, le PUR a cru « qu’après le forum de Brazzaville, le problème sécuritaire devra être définitivement être résolu sur le territoire national pour que les libertés individuelles et collectives soient effectivement garanties ».
Il est à noter que le « PUR » est un nouveau parti politique qui vient de voir le jour en République Centrafricaine. Son Président fondateur, M. Kparékouti Eddy Symphorien, universitaire, âgés pour l’instant de 45 ans, a fait ses preuves professionnelles au Soudan, en Tanzanie, en République Démocratique du Congo et en Centrafrique dans des domaines variés.
Il est également polyglotte puisque sachant parler couramment le Sango, sa langue maternelle, le Français, l’Anglais, l’Arabe et le Kiswahili.
