POLITIQUE
Le but de cette 1ère réunion est de valider la feuille de route proposée par le Secrétariat Technique.
Il a précisé que ce Secrétariat Technique, qui a un mandat de deux à trois ans, constitue l’unique cadre fédérateur de référence pour l’agenda de relèvement et de consolidation de la paix.
Cette structure constituée de cadres nationaux et d'experts internationaux, devrait renforcer les capacités des cellules sectorielles existantes, a-t-il estimé.
Il a, toutefois, suggéré la mise en place d’un comité transitoire qui a pour mission de travailler en synergie avec le gouvernement en attendant la mise en place de ce Secrétariat technique élargi.
Il a, par ailleurs, émis le vœu que ces experts commencent d’ores et déjà à sur les projets prioritaires du gouvernement ainsi que la mise en place des mécanismes de mobilisation et de suivi de ces fonds.
Le chef de la délégation de l’Union Européenne, Jean-Pierre Reymondet-Commoy, a quant à lui, indiqué que cette réunion était importante pour la création de cette cellule technique, chargée de soutenir les efforts du gouvernement en matière de mobilisation des fonds proposés ainsi que la mise en œuvre des différents projets.
Le diplomate européen a conclu qu’il est urgent que la population centrafricaine, très vulnérable, puisse commencer à bénéficier des retombées de cette table-ronde de Bruxelles.
Il a précisé que ce Secrétariat Technique, qui a un mandat de deux à trois ans, constitue l’unique cadre fédérateur de référence pour l’agenda de relèvement et de consolidation de la paix.
Cette structure constituée de cadres nationaux et d'experts internationaux, devrait renforcer les capacités des cellules sectorielles existantes, a-t-il estimé.
Il a, toutefois, suggéré la mise en place d’un comité transitoire qui a pour mission de travailler en synergie avec le gouvernement en attendant la mise en place de ce Secrétariat technique élargi.
Il a, par ailleurs, émis le vœu que ces experts commencent d’ores et déjà à sur les projets prioritaires du gouvernement ainsi que la mise en place des mécanismes de mobilisation et de suivi de ces fonds.
Le chef de la délégation de l’Union Européenne, Jean-Pierre Reymondet-Commoy, a quant à lui, indiqué que cette réunion était importante pour la création de cette cellule technique, chargée de soutenir les efforts du gouvernement en matière de mobilisation des fonds proposés ainsi que la mise en œuvre des différents projets.
Le diplomate européen a conclu qu’il est urgent que la population centrafricaine, très vulnérable, puisse commencer à bénéficier des retombées de cette table-ronde de Bruxelles.
