POLITIQUE
Les autorités politiques centrafricaines à la résidence de l’Ambassadeur du Cameroun à Bangui
Le but de cette commémoration est de rappeler aux Camerounais et à l’humanité la fin de l’appellation ‘République fédérale du Cameroun’ le 20 mai 1972, remplacée immédiatement par la ‘République unie du Cameroun’ ou le Cameroun tout court.
Le ministre Charles-Armel Doubane a lié aux préoccupations qui devraient être rapidement débattues dans le cadre de la grande commission mixte centrafricano-camerounaise celles se rapportant aux projets intégrateurs ou transfrontaliers mis en veilleuse à cause de la crise qui continue encore de secouer la République Centrafricaine.
Il a exprimé sa gratitude vis-à-vis du gouvernement camerounais qui, « en dépit des crises internes, auxquelles s’est ajoutée la chute des cours du pétrole, continue de déployer en faveur de la République Centrafricaine des appuis dans divers domaines en vue de soutenir le processus de stabilisation, de paix et de sécurité ».
Il a fustigé les incursions terroristes et criminelles de la nébuleuse Boko Haram dans certaines régions du Cameroun.
Enfin, il a salué la manière avec laquelle le Président Paul Biya est en train de s’employer pour gérer la crise née et entretenue dans la partie anglophone du pays, située à l'ouest du Cameroun.
Abordant la crise dans la partie anglophone du Cameroun, l’Ambassadeur du Cameroun en République Centrafricaine, Nicolas Nzoyoum, s’est étonné de ce que des revendications corporatistes des enseignants et des avocats se sont muées en revendications politiques.
Devant le durcissement de la position des leaders de ces revendications, tentés même de remettre en cause l’unité du pays et animés par l’esprit des destructions des biens publics et privés, l’organisation des journées villes mortes, etc., le gouvernement a pris des mesures conservatoires, surtout pour sauver la menace d’une année blanche.
Tout comme le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Centrafricains de l’étranger, Nicolas Nzoyoum a clamé haut et fort que le Cameroun privilégiera les relations de coopération avec la République Centrafricaine.
Au plan bilatéral, il a mentionné la coopération dans les domaines militaire, communicationnel, éducatif et économique et le déploiement des forces qui interviennent dans le cadre de la MINUSCA.
Nicolas Nzoyoum a conclu que si la communauté internationale aidait la République Centrafricaine à recouvrer la stabilité, elle aurait, dans le même temps, aidé le Cameroun, et partant, toute la sous-région d’Afrique centrale.
Le ministre Charles-Armel Doubane a lié aux préoccupations qui devraient être rapidement débattues dans le cadre de la grande commission mixte centrafricano-camerounaise celles se rapportant aux projets intégrateurs ou transfrontaliers mis en veilleuse à cause de la crise qui continue encore de secouer la République Centrafricaine.
Il a exprimé sa gratitude vis-à-vis du gouvernement camerounais qui, « en dépit des crises internes, auxquelles s’est ajoutée la chute des cours du pétrole, continue de déployer en faveur de la République Centrafricaine des appuis dans divers domaines en vue de soutenir le processus de stabilisation, de paix et de sécurité ».
Il a fustigé les incursions terroristes et criminelles de la nébuleuse Boko Haram dans certaines régions du Cameroun.
Enfin, il a salué la manière avec laquelle le Président Paul Biya est en train de s’employer pour gérer la crise née et entretenue dans la partie anglophone du pays, située à l'ouest du Cameroun.
Abordant la crise dans la partie anglophone du Cameroun, l’Ambassadeur du Cameroun en République Centrafricaine, Nicolas Nzoyoum, s’est étonné de ce que des revendications corporatistes des enseignants et des avocats se sont muées en revendications politiques.
Devant le durcissement de la position des leaders de ces revendications, tentés même de remettre en cause l’unité du pays et animés par l’esprit des destructions des biens publics et privés, l’organisation des journées villes mortes, etc., le gouvernement a pris des mesures conservatoires, surtout pour sauver la menace d’une année blanche.
Tout comme le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Centrafricains de l’étranger, Nicolas Nzoyoum a clamé haut et fort que le Cameroun privilégiera les relations de coopération avec la République Centrafricaine.
Au plan bilatéral, il a mentionné la coopération dans les domaines militaire, communicationnel, éducatif et économique et le déploiement des forces qui interviennent dans le cadre de la MINUSCA.
Nicolas Nzoyoum a conclu que si la communauté internationale aidait la République Centrafricaine à recouvrer la stabilité, elle aurait, dans le même temps, aidé le Cameroun, et partant, toute la sous-région d’Afrique centrale.
