Cette campagne dénommée « légalité dans la zone minière» a permis au ministre des Mines de recevoir les cahiers et des Kits de production, dons du projet Droits de Propriétés et développement du Diamant artisanal (DPDDA).
Léopold Mboli-Fatrane a expliqué qu’il est important de renforcer les mesures nécessaires dans la production des mines afin de prévenir, détecter et réprimer tous les actes d’exploitation illégale, fraudes et la contrebande des ressources minières.
Selon lui, quatre défis majeurs auxquels la République Centrafricaine doit faire face sont entre autres la redynamisation des structures de l’administration minière permettant de définir une stratégie nationale claire et sans équivoque, la restructuration de l’unité spécial de lutte anti-fraude.
« Le projet DPDDA2 est entrain de palier à une des difficultés majeurs en ce qui concerne l’identification biométrique des acteurs de base que sont les ouvriers et exploitants miniers », a-t-il conclu.
Le secrétaire permanent du processus de Kimberley (PK), François Alain Ngbokoto a indiqué que notre pays devrait reconstruire son secteur minier à travers la légalité des zones d’activité qui sont sous contrôle de l’Etat.
Il convient de souligner qu’à cause de la crise, la chaine légale du secteur minier en République Centrafricaine est affaiblie.
Léopold Mboli-Fatrane a expliqué qu’il est important de renforcer les mesures nécessaires dans la production des mines afin de prévenir, détecter et réprimer tous les actes d’exploitation illégale, fraudes et la contrebande des ressources minières.
Selon lui, quatre défis majeurs auxquels la République Centrafricaine doit faire face sont entre autres la redynamisation des structures de l’administration minière permettant de définir une stratégie nationale claire et sans équivoque, la restructuration de l’unité spécial de lutte anti-fraude.
« Le projet DPDDA2 est entrain de palier à une des difficultés majeurs en ce qui concerne l’identification biométrique des acteurs de base que sont les ouvriers et exploitants miniers », a-t-il conclu.
Le secrétaire permanent du processus de Kimberley (PK), François Alain Ngbokoto a indiqué que notre pays devrait reconstruire son secteur minier à travers la légalité des zones d’activité qui sont sous contrôle de l’Etat.
Il convient de souligner qu’à cause de la crise, la chaine légale du secteur minier en République Centrafricaine est affaiblie.