Marie-Noëlle Koyara a expliqué que les assises du Forum de Bangui, tenues en mai 2015, avait recommandé d’incorporer les ex-combattants dans les corps des porteurs de tenues et d’en réinsérer d'autres dans les activités communautaires.
Le chef du département de la Défense nationale a indiqué que les 60 ex-combattants qui ont reçu leur numéro matricule constituent la première vague d'ex-combattants incorporés dans l'armée nationale.
Elle a souligné que ceux-ci vont subir une formation militaire dispensée par les partenaires de l’EUTM (Mission de Formation Militaire de l’Union Européenne) afin de servir la République Centrafricaine dans le cadre de la restauration de la paix.
« Ceux des provinces vont être recrutés par une équipe mobile composée des partenaires internationaux et de l’état-major et au fur et à mesure pour atteindre l’effectif de 250 éléments prévus pour la phase pilote du programme de Désarmement, Démobilisation, Réinsertion et Rapatriement en vue renforcer l’armée nationale », a-t-elle poursuivi.
Elle a fait savoir que le projet initial concerne les 14 groupes armés signataires de l’Accord de Bangui, qui doivent envoyer chacun 40 personnes dont 20 doivent être incorporés dans l’armée centrafricaine et les 20 autres dans des activités communautaires.
Il convient de noter que le 30 août dernier, le Président Faustin Archange Touadéra a lancé à Bangui le projet pilote du Désarmement, Démobilisation, Réinsertion et Rapatriement, en présence de la communauté internationale.
Le chef du département de la Défense nationale a indiqué que les 60 ex-combattants qui ont reçu leur numéro matricule constituent la première vague d'ex-combattants incorporés dans l'armée nationale.
Elle a souligné que ceux-ci vont subir une formation militaire dispensée par les partenaires de l’EUTM (Mission de Formation Militaire de l’Union Européenne) afin de servir la République Centrafricaine dans le cadre de la restauration de la paix.
« Ceux des provinces vont être recrutés par une équipe mobile composée des partenaires internationaux et de l’état-major et au fur et à mesure pour atteindre l’effectif de 250 éléments prévus pour la phase pilote du programme de Désarmement, Démobilisation, Réinsertion et Rapatriement en vue renforcer l’armée nationale », a-t-elle poursuivi.
Elle a fait savoir que le projet initial concerne les 14 groupes armés signataires de l’Accord de Bangui, qui doivent envoyer chacun 40 personnes dont 20 doivent être incorporés dans l’armée centrafricaine et les 20 autres dans des activités communautaires.
Il convient de noter que le 30 août dernier, le Président Faustin Archange Touadéra a lancé à Bangui le projet pilote du Désarmement, Démobilisation, Réinsertion et Rapatriement, en présence de la communauté internationale.