POLITIQUE
Les participants de cette Commission ont axé leurs réflexions autour des idées fortes parmi lesquelles : la paix globale et définitive en République Centrafricaine, le désarmement global des groupes armés et de la population, la protection de la population civile, enfin la nécessité de mettre les femmes au centre du combat pour la réconciliation, la paix, la sécurité, et la stabilité.
Plusieurs participants se sont relayés à la tribune pour émettre des avis, faire des propositions et de nouvelles stratégies pour éradiquer les maux qui depuis plus d’une décennie empêchent l’Etat de retrouver la plénitude de ses fonctions régaliennes notamment la protection des citoyens et de poser les bases d’un développement économique et social
.
Pour M.Lokoulmbaye Modeste, en charge des opérations des Ex-Séléka, « les causes et facteurs de l’insécurité en Centrafrique sont d’origine interne et externe ».
Aux dires de ce dernier, « le non respect des principes fondamentaux des droits de l’homme, la faiblesse du pouvoir central dans la protection des Individus, le non respect des principes de la séparation des pouvoirs »constituent la toile de fond de l’insécurité en RCA
« La porosité des frontières permet des infiltrations de toutes sortes, les interventions étrangères », sont autant de facteurs déterminants qui fragilisent la sécurité des paisibles citoyens, a-t-il poursuivi.
Le président de la Ligue Centrafricaine de droit de l’homme, le magistrat Joseph .Bindoumbi, a relevé que, « l’essentiel c’est que les victimes présents à ce Forum ont accepté écouter la voix des bourreaux, et les bourreaux ont écouté la voix des victimes ».
Plusieurs participants se sont relayés à la tribune pour émettre des avis, faire des propositions et de nouvelles stratégies pour éradiquer les maux qui depuis plus d’une décennie empêchent l’Etat de retrouver la plénitude de ses fonctions régaliennes notamment la protection des citoyens et de poser les bases d’un développement économique et social
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Pour M.Lokoulmbaye Modeste, en charge des opérations des Ex-Séléka, « les causes et facteurs de l’insécurité en Centrafrique sont d’origine interne et externe ».
Aux dires de ce dernier, « le non respect des principes fondamentaux des droits de l’homme, la faiblesse du pouvoir central dans la protection des Individus, le non respect des principes de la séparation des pouvoirs »constituent la toile de fond de l’insécurité en RCA
« La porosité des frontières permet des infiltrations de toutes sortes, les interventions étrangères », sont autant de facteurs déterminants qui fragilisent la sécurité des paisibles citoyens, a-t-il poursuivi.
Le président de la Ligue Centrafricaine de droit de l’homme, le magistrat Joseph .Bindoumbi, a relevé que, « l’essentiel c’est que les victimes présents à ce Forum ont accepté écouter la voix des bourreaux, et les bourreaux ont écouté la voix des victimes ».
