POLITIQUE
Le leader syndical Noël Ramadan a justifié l’inaction des centrales syndicales depuis le 24 mars 2013 par la volonté de donner une chance aux nouvelles autorités du pays en vue de trouver des solutions idoines aux problèmes auxquels sont confrontés les Centrafricains, ce qui a été perçu par certains travailleurs comme un signe de faiblesse.
Il a indiqué qu’à l’issue de cette rencontre, « des réponses rassurantes et intéressantes ont été données aux dirigeants syndicaux par le chef de mission du FMI ».
« Les présidents et secrétaires généraux des centrales syndicales attendent de voir la concrétisation de ce qui s’était dit au cours de cette rencontre inédite », a-t-il poursuivi.
Selon lui, si, après le mois de janvier 2018, les deux mois d’arriérés de salaire ne sont pas versés aux travailleurs, c’est à ce moment qu’ils vont décider de la suite à donner à leur mouvement.
S’agissant de la grève lancée par le GSTC, les autres centrales syndicales ont estimé qu’ils ne peuvent pas être à la fois partie prenante du cadre permanent de concertation et de revendication, et mener des actions contraires.
Il convient de rappeler que sur les 17 centrales syndicales reconnues en Centrafrique, 16 privilégient le dialogue avec le gouvernement avant d’entreprendre quoi que ce soit.
Il a indiqué qu’à l’issue de cette rencontre, « des réponses rassurantes et intéressantes ont été données aux dirigeants syndicaux par le chef de mission du FMI ».
« Les présidents et secrétaires généraux des centrales syndicales attendent de voir la concrétisation de ce qui s’était dit au cours de cette rencontre inédite », a-t-il poursuivi.
Selon lui, si, après le mois de janvier 2018, les deux mois d’arriérés de salaire ne sont pas versés aux travailleurs, c’est à ce moment qu’ils vont décider de la suite à donner à leur mouvement.
S’agissant de la grève lancée par le GSTC, les autres centrales syndicales ont estimé qu’ils ne peuvent pas être à la fois partie prenante du cadre permanent de concertation et de revendication, et mener des actions contraires.
Il convient de rappeler que sur les 17 centrales syndicales reconnues en Centrafrique, 16 privilégient le dialogue avec le gouvernement avant d’entreprendre quoi que ce soit.
