Cette flambée de violence a occasionné 10.000 nouveaux déplacés, faisant un total de 20.000 déplacés internes à Bria, dont 15.000 à proximité de la base de la MINUSCA, précise la Mission, qui "appelle à une cessation immédiate des hostilités entre factions de groupes armés à Bria" et indiqué avoir "repositionné ses Casques bleus afin d'assurer la protection des civils".
Ce redéploiement n'a toutefois pas empêché des pillages, vendredi 19 mai, dans un quartier abritant des bureaux et résidences d'organisations humanitaires, dont certaines ont décidé de suspendre leurs activités.
Réagissant à ces violences, la Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations Unies en RCA, Diane Corner, a invité les groupes armés à « cesser immédiatement » les hostilités.
« ces actes de violence ignobles commis par des groupes armés durant la semaine écoulée ont fait un important nombre de victimes innocentes, qu'ils soient hommes femmes ou enfants, et privé des familles de leurs habitations et des citoyens du minimum vital », a-t-elle souligné.
Ce regain de violence dans la ville minière de Bria intervient moins d'une semaine après l'attaque de la ville de Bangassou par des hommes armés non identifiés qui a fait officiellement 115 morts, dont un casque bleu de la MINUSCA dont le bureau a été pris pour cible par les assaillants.
Ce redéploiement n'a toutefois pas empêché des pillages, vendredi 19 mai, dans un quartier abritant des bureaux et résidences d'organisations humanitaires, dont certaines ont décidé de suspendre leurs activités.
Réagissant à ces violences, la Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations Unies en RCA, Diane Corner, a invité les groupes armés à « cesser immédiatement » les hostilités.
« ces actes de violence ignobles commis par des groupes armés durant la semaine écoulée ont fait un important nombre de victimes innocentes, qu'ils soient hommes femmes ou enfants, et privé des familles de leurs habitations et des citoyens du minimum vital », a-t-elle souligné.
Ce regain de violence dans la ville minière de Bria intervient moins d'une semaine après l'attaque de la ville de Bangassou par des hommes armés non identifiés qui a fait officiellement 115 morts, dont un casque bleu de la MINUSCA dont le bureau a été pris pour cible par les assaillants.