Centrafrique/Economie
Au terme de cet atelier sous-régional, les cinquante participants du secteur fluvial et ferroviaire, venus du Cameroun, du Congo (Brazzaville), du Congo (Kinshasa) et de la République Centrafricaine (RCA), ont formulée une dizaine de recommandations susceptibles de développer le commerce dans la sous région de l’Afrique centrale.
Il s’agit de la mise en place d’un plan de lutte contre les barrières non physiques, la signature d’un protocole d’accord douanier en matière de transit entre les Etats membres de la Commission Internationale du Bassin Congo Oubangui Sangha (CICOS), la mise en place d’un cadre de concertation entre la République du Congo et de la République Centrafricaine pour l’organisation du transport des passagers.
Les participants ont également recommandé la mise en place d’un observatoire visant à l’amélioration des infrastructures portuaires et ferroviaires et des les matériels de transport, le renforcement des capacités et l’appui institutionnel aux services du personnel navigant, la sensibilisation des parties prenantes (société civile et administration ) sur la lutte contre les barrières non physiques.
M. Wodobodé a déclaré que les recommandations issues de cet atelier ont été clairement définies, « il s’agit de réguler le transport et le commerce sur les corridors de développement multimodaux qui constituent pour le peuple de l’Afrique centrale et précisément du bassin du Congo-Oubangui-sangha, le cordon ombilical de ladite sous région. »
Il a ajouté que le développement du commerce sur les corridors multimodaux pilote, à savoir, Pointe-Noire-Brazzaville-Bangui, Matadi-Kinshasa-Bangui et Matadi-Kinshasa-Kisangani, est subordonné à la suppression des barrières non physiques qui constituent un frein pour le développement des Etats membres de la Cicos.
Interrogé par l’ACAP, le Directeur Juridique et de la Réglementation de la Cicos, M. Anicet Samba, a souligné que la trans-équatoriale, c'est-à-dire, à partir du port de Pointe-Noire-Brazzaville et la voie fluviale jusqu’à Bangui est le corridor qui était beaucoup utilisé pour le trafic fret à destination de la RCA, compte tenu des difficultés d’exploitation de ce corridor, le trafic s’est orienté vers la route jusqu’à Douala au Cameroun.
C’est pourquoi, a-t-il indiqué, la Cicos est entrain de chercher les voies et moyens qui peuvent permettre de faire en sorte que ce corridor puisse reprendre la place qu’il occupait dans le temps.
Il faut rappeler que cet atelier sous régional sur l’observatoire multimodal des barrières non physiques, est le premier du genre, organisé par le ministère des Transports et de l’Aviation Civile et la Cicos en partenariat avec le Programme de Politique des Transports en Afrique Subsaharienne, avec l’appui financier de la Banque mondiale.
Au terme de cet atelier sous-régional, les cinquante participants du secteur fluvial et ferroviaire, venus du Cameroun, du Congo (Brazzaville), du Congo (Kinshasa) et de la République Centrafricaine (RCA), ont formulée une dizaine de recommandations susceptibles de développer le commerce dans la sous région de l’Afrique centrale.
Il s’agit de la mise en place d’un plan de lutte contre les barrières non physiques, la signature d’un protocole d’accord douanier en matière de transit entre les Etats membres de la Commission Internationale du Bassin Congo Oubangui Sangha (CICOS), la mise en place d’un cadre de concertation entre la République du Congo et de la République Centrafricaine pour l’organisation du transport des passagers.
Les participants ont également recommandé la mise en place d’un observatoire visant à l’amélioration des infrastructures portuaires et ferroviaires et des les matériels de transport, le renforcement des capacités et l’appui institutionnel aux services du personnel navigant, la sensibilisation des parties prenantes (société civile et administration ) sur la lutte contre les barrières non physiques.
M. Wodobodé a déclaré que les recommandations issues de cet atelier ont été clairement définies, « il s’agit de réguler le transport et le commerce sur les corridors de développement multimodaux qui constituent pour le peuple de l’Afrique centrale et précisément du bassin du Congo-Oubangui-sangha, le cordon ombilical de ladite sous région. »
Il a ajouté que le développement du commerce sur les corridors multimodaux pilote, à savoir, Pointe-Noire-Brazzaville-Bangui, Matadi-Kinshasa-Bangui et Matadi-Kinshasa-Kisangani, est subordonné à la suppression des barrières non physiques qui constituent un frein pour le développement des Etats membres de la Cicos.
Interrogé par l’ACAP, le Directeur Juridique et de la Réglementation de la Cicos, M. Anicet Samba, a souligné que la trans-équatoriale, c'est-à-dire, à partir du port de Pointe-Noire-Brazzaville et la voie fluviale jusqu’à Bangui est le corridor qui était beaucoup utilisé pour le trafic fret à destination de la RCA, compte tenu des difficultés d’exploitation de ce corridor, le trafic s’est orienté vers la route jusqu’à Douala au Cameroun.
C’est pourquoi, a-t-il indiqué, la Cicos est entrain de chercher les voies et moyens qui peuvent permettre de faire en sorte que ce corridor puisse reprendre la place qu’il occupait dans le temps.
Il faut rappeler que cet atelier sous régional sur l’observatoire multimodal des barrières non physiques, est le premier du genre, organisé par le ministère des Transports et de l’Aviation Civile et la Cicos en partenariat avec le Programme de Politique des Transports en Afrique Subsaharienne, avec l’appui financier de la Banque mondiale.