POLITIQUE
« Je pense effectivement que l’année 2009 a été une année charnière, puisque nous avons enregistré un évènement non négligeable, l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative pays pauvres très endettés (PPTE) par notre pays a ouvert de nouvelles perspectives de mobilisation et d’orientation des ressources sur certains secteurs importants en matière de lutte contre la pauvreté », a indiqué M. Maliko.
« En 2009, nous avons pu accentuer l’effort de mobilisation des ressources, et je crois que les statistiques qui nous ont été exposées par tous les comités techniques sectoriels font la démonstration que nous avons enregistré des avancées importantes, et il convient de saluer en cela l’engagement de la partie nationale et de nos partenaires à nos côtés », a-t-il ajouté.
"Le DSRP est le programme de développement de ce pays, et après 2 ans, nous avons des résultats qui sont fascinants, l’un des résultats le plus important dans le cadre de la réforme est d'avoir atteint le point d’achèvement l’année passée, dans un délai court, a relevé Mme Pantelic
L’Ambassadeur de la Commission Européenne, M. Samzum a souligné que « la Centrafrique aujourd’hui est considérée comme un Etat orphelin de l’aide, et le DSRP a vocation à se fixer des objectifs à moyen, long terme et à valoriser à terme des coûts ».
« Mon regard se trouve vers l’année 2010 et 2011, avec tous les efforts que le gouvernement centrafricain et le peuple centrafricain ont fait pour faire avancer ce pays dans ce bon chemin, c’est cette année qu’on va juger », a-t-il dit avant poursuivre : « on a les élections qui viennent, pour la communauté internationale, c’est un moment fondamental et clé».
« Il faut que ces élections se fassent de façon crédible, transparente et fiable, c’est la condition sine qua non au développement de la Centrafrique, c’est comme ça qu’on réduira la pauvreté, et c’est comme ça qu’on aura le développement durable dans ce pays », a-t-il indiqué.
L’Economiste principal du PNUD, M. Bécaye Diarra, a pour sa part précisé que « les autorités centrafricaines ont engagé beaucoup de réformes qui permettent d’engager les grands chantiers du DSRP 2ème génération basés sur la croissance économique ».
« Pour réduire la pauvreté, il faut une croissance économique forte, et pour preuve, pour qu’elle soit forte, il faut développer l’environnement des affaires, les filières de production, mais aussi s’engager dans les investissements sur les infrastructures de base et les infrastructures sociales », a expliqué M. Diarra.
Il faut rappeler que le premier ministre, le Pr. Faustin Archange Touadéra, a ouvert les travaux de la revue annuelle 2009 du DSRP dans la matinée, dont l’objectif était de soumettre à l’appréciation des différents acteurs impliqués, les rapports d’exécution des programmes par secteur, à savoir réforme du secteur de la sécurité, Gouvernance et Etat de droit, Egalité de genre et réduction de la pauvreté, Infrastructures de base, Développement rural, Commerce, secteur privé, intégration régionale et emploi, Eau et assainissement, Education, Santé et VIH/sida
« En 2009, nous avons pu accentuer l’effort de mobilisation des ressources, et je crois que les statistiques qui nous ont été exposées par tous les comités techniques sectoriels font la démonstration que nous avons enregistré des avancées importantes, et il convient de saluer en cela l’engagement de la partie nationale et de nos partenaires à nos côtés », a-t-il ajouté.
"Le DSRP est le programme de développement de ce pays, et après 2 ans, nous avons des résultats qui sont fascinants, l’un des résultats le plus important dans le cadre de la réforme est d'avoir atteint le point d’achèvement l’année passée, dans un délai court, a relevé Mme Pantelic
L’Ambassadeur de la Commission Européenne, M. Samzum a souligné que « la Centrafrique aujourd’hui est considérée comme un Etat orphelin de l’aide, et le DSRP a vocation à se fixer des objectifs à moyen, long terme et à valoriser à terme des coûts ».
« Mon regard se trouve vers l’année 2010 et 2011, avec tous les efforts que le gouvernement centrafricain et le peuple centrafricain ont fait pour faire avancer ce pays dans ce bon chemin, c’est cette année qu’on va juger », a-t-il dit avant poursuivre : « on a les élections qui viennent, pour la communauté internationale, c’est un moment fondamental et clé».
« Il faut que ces élections se fassent de façon crédible, transparente et fiable, c’est la condition sine qua non au développement de la Centrafrique, c’est comme ça qu’on réduira la pauvreté, et c’est comme ça qu’on aura le développement durable dans ce pays », a-t-il indiqué.
L’Economiste principal du PNUD, M. Bécaye Diarra, a pour sa part précisé que « les autorités centrafricaines ont engagé beaucoup de réformes qui permettent d’engager les grands chantiers du DSRP 2ème génération basés sur la croissance économique ».
« Pour réduire la pauvreté, il faut une croissance économique forte, et pour preuve, pour qu’elle soit forte, il faut développer l’environnement des affaires, les filières de production, mais aussi s’engager dans les investissements sur les infrastructures de base et les infrastructures sociales », a expliqué M. Diarra.
Il faut rappeler que le premier ministre, le Pr. Faustin Archange Touadéra, a ouvert les travaux de la revue annuelle 2009 du DSRP dans la matinée, dont l’objectif était de soumettre à l’appréciation des différents acteurs impliqués, les rapports d’exécution des programmes par secteur, à savoir réforme du secteur de la sécurité, Gouvernance et Etat de droit, Egalité de genre et réduction de la pauvreté, Infrastructures de base, Développement rural, Commerce, secteur privé, intégration régionale et emploi, Eau et assainissement, Education, Santé et VIH/sida
